Fiches/Matériels

• Surveiller les réseaux gaz pour éviter les
• accidents.
• Limiter le risque d’incident sur les réseaux.
• Optimiser le temps de préparation et du
• traitement au bureau.
• Suivi des kilomètres surveillés

• Paramétrage de Piste RSF sous SIG
• Constitution des circuits en fonction de la gamme de surveillance (VSR Véhicule de Surveillance Réseau et Pédestre), de la sensibilité et la limite des communes.
• Mise à jour des tournées de surveillance dans la base des données SIG.

L’exploitant des réseaux gaz :

• GrDF : Gaz réseau distribution France
• GRT : Gaz réseau transport
• Les Régies,
• Les communautés des communes et
• Les particuliers etc.

Récupération des informations relatives aux réseaux à surveiller selon :

• La gamme de surveillance
• La sensibilité des réseaux
• Avoir accès à la base des données clients

• Respect des politiques locales de surveillance du réseau,
• Optimiser les coûts de surveillance,
• Gain du temps pour le pilotage
• Suivi de kilomètres surveillés,
• Édition et l’archivage des tournées pour le VSR,
• Traitement des indices dans les délais.

Chaque commune, doit avoir au minimum 1 circuit et au maximum 6 circuits.

• Nom d’un circuit : le nom de la commune – la gamme – la sensibilité.
• Fiche tournée : l’ensemble des canalisations surveillées lors d’une sortie par les opérateurs du terrain (VSR et PED).
• Préenregistrement des tournées selon l’historique de surveillance.

• Reclassifier tous les réseaux de classes (B et C)
• en classe A.
• Les IC permettent de définir les risques pour la
• bonne réalisation d’un chantier.
• Mesure de localisation est destinée à l’exploitant
• si tout son réseau n’est pas en classe A. il peut
• déléguer au responsable du projet.
• Opération de localisation peut être fait pendant
• les travaux à la charge du responsable du projet.

Pour s’assurer la faisabilité d’un projet, il est obligatoire :

• L’analyse des plans de synthèse issus des réponses aux
• DT.
• À minima la détection des réseaux sensibles définis en
• classe B ou C sur la zone de travaux.
• Le géoréférencement de ces réseaux et report sur
• plan des résultats.
• La rédaction d’un rapport normalisé.

L’exploitant des réseaux gaz : L’exécutant des travaux doit maintenir le « marquage-piquetage » pendant toute la durée du chantier.

• Le Responsable de projet
• Pour l’établissement de son projet. Les résultats des
• IC seront intégrés dans le DCE.
• L’Exécutant de travaux
• Pour la connaissance de leurs réseaux avant travaux.
• L’Exploitant de réseaux
• Pour établir son offre technico - financière et
• préparer son implantation.

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

Un rapport d’IC des réseaux

• Les informations sur les points qui n’ont pas
• été reclassifiés A, avec causes et limites de
• l’indétermination.
• Un tableau des points relevés en
• coordonnées absolues.
• Le relevé des réponses des exploitants à
• partir de la DT.
• Le plan géoréférencé des réseaux avec
• indication de la classe de précision observée

• Matérialiser la position exacte des réseaux
• enterrés avant les travaux.
• Tracer et/ou marquer au sol selon un référentiel
• et un code couleur (2 m au-delà de l’emprise
• travaux).
• Sécurisation des biens de la population
• Reclassifier la classe de précision (A) des réseaux
• actuellement en classe B/C indiqués sur la DICT.

Le « marquage-piquetage » est obligatoire avant le début des travaux :

• Matérialisation au sol de la localisation d’un réseau
• enterré.
• Détection des réseaux jusqu’à 2-3 m de profondeur
• et marquage des réseaux présents au niveau de
• l’implantation de vos points de sondages.
• Fait l’objet d’un procès-verbal cosigné par les
• parties en présence.

L’exécutant des travaux doit maintenir le « marquage-piquetage » pendant toute la durée du chantier

• Le responsable de projet / L’exécutant de
• travaux : réalisation du MP au démarrage du
• chantier.
• L’exploitant de réseaux : un marquage seul du
• réseau concessionnaire.
• Tout acteur qui début des travaux à plus de 10
• cm de profondeur ou 40 cm en domaine
• horticole ou agricole.

• Récupération des informations relatives aux
• DICT
• Marquage-piquetage des réseaux 2 m au-delà
• de la zone d’emprise travaux.
• Dans le cas particulier, les zones concernées
• sont indiquées au chef de chantier et
• annotées dans le PV.

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

• Transmission d’un procès-verbal de MP
• réglementaire contresigné des parties.
• Marquage au sol des réseaux conforme à la
• règlementation.
• Sur demande : Rapport photos,
• photogrammétrie géoréférencée au format
• dwg, pdf etc.

• Pour être conforme à la règlementation anti-
• endommagement des réseaux.
• Limiter les accidents sur les réseaux présents.
• Cartographier précisément le réseau en classe A.
• Intégrer la cartographie selon la charte
• graphique du client.
• Améliorer la gestion patrimoniale et
• l’échange entre les services
• Pour un investissement optimal

Le « marquage-piquetage » est obligatoire avant le début des travaux :

• Matérialisation au sol de la localisation d’un réseau
• enterré.
• Détection des réseaux présents dans l’emprise des
• travaux.
• Géoréférencement des points détectés.

Tous les exploitants de réseaux : L’exécutant des travaux doit maintenir le « marquage-piquetage » pendant toute la durée du chantier.

• Tous les exploitants de réseaux :
• Exploitants privés
• Concessionnaires tels que ENEDIS, GRDF,
• Régies publiques
• Notamment pour l’éclairage public, la SLT
• (signalisation lumineuse tricolore), l’assainissement,
• l’AEP (Adduction d’Eau Potable) ...

Les techniques sont dites non-intrusives :

• La détection électromagnétique : réseaux
• métalliques, les fourreaux et les conduites
• gravitaires, en complément des aiguilles avec
• sondes
• ✓ Le géoradar pour la recherche de cavités
• (tuyaux, fourreaux...).
• Le Géoréférencement avec l’utilisation de
• matériel de topographie de précision (stations
• totales, GSS de précision etc.)

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

• Le plan géoréférencé du réseau concerné
• avec indication de la classe de précision
• observée.
• Un rapport d’investigation avec la liste des
• points relevés en coordonnées absolues.
• Intégration au SIG ou PCRS (plan de corps de
• rue simplifié).

• Maîtriser le coût et le délai de réalisation de
• votre projet
• Sécurisation de nos appareils sur les chantiers
• Respect de la sécurité
• Des données orthophoto, nuages des points
• géoréférencés,

• Relever des réseaux dans le cadre de l’investigation
• complémentaire
• Lever topographique des zones inférieures à 2 km
• Récolement des réseaux à fouille ouverte,
• Lever des façades, et à l’intérieur des bâtiments,
• Calcul de cubature,
• Orthophoto pour le rapport photo du MP

• L’agriculture,
• L’audiovisuel
• Le recollement fouille ouverte
• Lever des corps de rue (FDP, PCRS, etc.)
• Calcul de cubatures : permet de suivre
• l’évolution des excavations et remblaiements
• de carrières, décharges, terrassements
• Permet de contrôler les entreprises de
• terrassement

• Les techniques utilisées sont nombreuses :
• Appareil photo fixé sur une perche de 3.5 m
• Mobile mapping (appareil photo + GPS)
• Drone pour cartographier les zones
• inaccessibles et dangereuses
• Beau temps est recommandé pour avoir un
• bon resultat
• Gain de temps sur nos chantiers

Les avantages de la photogrammétrie sont nombreux :

• Maîtriser le coût et le délai de réalisation de
• votre projet
• Respect de la sécurité
• Des données orthophoto, nuages des points
• géoréférencés

• Livrables adaptés à vos besoins pour
• l’intégrer dans vos bases des données : FDP,
• PCRS, SIG, etc.
• Données orthophotos, nuages des points
• géoréférencés

• Améliorer la cartographie de la localisation des
• réseaux enterrés.
• Intervenir précisément lors de la maintenance des
• réseaux.
• Réaliser des projets avec une connaissance
• parfaite des réseaux.

• PGOC : Plan Géoréférencé des Ouvrages
• Construits
• PGOD : Plan géoréférencé des Ouvrages
• Détectés
• L’exécutant de travaux doit fournir à son
• maître d’ouvrage un DOE (Dossier des
• Ouvrages Exécutés dont un plan de
• récolement).
• Le plan de récolement doit être
• géoréférencé (XYZ).

L’exécutant des travaux doit maintenir le « marquage-piquetage » pendant toute la durée du chantier.

• Aux exécutants de travaux : Afin de fournir
• leur DOE (dossier des Ouvrages Exécutés)
• indiqué.
• Aux maîtres d’ouvrages et aux exploitants de
• réseaux : Pour enrichir la cartographie (PCRS,
• SIG,...).

• Le lever doit se faire en fouille ouverte, si la
• fouille est fermée : PGOD plan géoréférencé
• des ouvrages détectés
• Le lever comprend l’intégralité de chaque
• ouvrage construit : réseaux, branchements et
• accessoires (fourreaux, coffrets, poteaux,
• etc.…)
• Le nombre de points levés doit être suffisant
• Il faut relever les profondeurs atypiques
• Lever les principaux éléments de
• l’environnement (plaque, coffret gaz, poteau,
• etc)

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

• Un CSV des points levés avec les
• coordonnées absolues
• Un fichier PDF Foliotages des fichiers en
• format A3 imprimable
• Un fichier DGN et DWG au format
• Microstation V8 avec le tracé des points levés
• (PTRL) et des câbles à la norme CartoV3

• Reclassifier le réseau en classe A.
• Déterminer la classe de précision (classe A
• recommandée).
• Cartographier précisément le réseau existant.
• Réaliser vos projets avec une connaissance
• parfaite des réseaux.
• Etat des lieux des réseaux existants

• Dans de nombreux cas, les plans de réseaux
• ont été perdus, inexistants ou sont obsolètes.
• Nos techniciens ont pour mission de les
• reconstituer précisément.
• Utilisation des plans à vos dispositions
• Synthèse des réseaux présents

• Récupération des informations relatives aux
• DT-DICT pour chaque concessionnaire
• Récupération des informations des anciens
• investigations complémentaires déjà réaliser
• Retranscription des réseaux présents dans un
• seul plan.
• Indication des zones à investiguer.

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

• Le plan de synthèse des réseaux
• géoréférencés avec indication de la classe de
• précision observée.
• Un tableau de synthèse pour chaque réseau
• observé
• Indication des longueurs des réseaux
• susceptibles d’être investigués.
• Plan topographique de la zone sur demande

Le « marquage-piquetage » est obligatoire avant le début des travaux :

• Sécuriser vos points de sondages.
• Limiter le risque d’incident sur les réseaux.
• Optimiser le coût de vos chantiers (technique
• et économique).

• Détection des réseaux jusqu’à 2-3 m de
• profondeur et marquage des réseaux présents
• au niveau de l’implantation de vos points de
• sondages.
• Détection d’au moins 2 m autour de l’emprise
• des travaux.
• Détection de toutes anomalies susceptibles de
• gêner vos travaux d’excavation (sondage,
• forage, piézomètre, carottage et fouille à la pelle
• mécanique etc.).

L’exécutant des travaux doit maintenir le « marquage-piquetage » pendant toute la durée du chantier.

• Recherche et exploitation de matières
• utiles.
• Reconnaissance des sols dans le cadre
• d’études géologiques, géotechniques,
• hydrogéologiques, pédologiques.
• Préparation de sols en vue de la réalisation
• d’ouvrages de génie civil : pieux forés,
• injections.

• Récupération des informations relatives
• aux DICT
• Marquage-piquetage des réseaux 2 m au-
• delà de la zone d’emprise travaux.
• Dans le cas particulier, les zones
• concernées sont indiquées au chef de
• chantier et annotées dans le PV.

• Classe A = la précision est 40 cm pour le réseau
• rigide et 50 cm pour le réseau flexible
• Classe B = La précision est entre A à 1.5 m
• Classe C : La précision est supérieure à 1.5 m

• Transmission d’un Procès-Verbal de MP
• réglementaire contresigné des parties.
• (Exécutant travaux, prestataire,
• concessionnaires, etc.).
• Les coordonnées des points sécurisés
• Sur demande : photogrammétrie de la zone
• géoréférencée au format dwg, pdf etc.

• evé topographique (routes, autoroutiers,
• ferroviaires, etc.)
• Plan de corps de rue simplifié (PCRS),
• État des lieux avant l’étude d’aménagement de
• sites…

• Lever de fond de plan pour les exploitants des
• réseaux, gestionnaire des travaux, les
• communautés des communes, etc.
• Lever des fonds de plan pour les futurs
• aménagements.
• Lever FDPIO (Fond de Plan Interopérable)
• pour ENEDIS
• Lever de Fond de plan pour GrDF
• PGOC- Plan Géoréférencé des Ouvrages
• Construits qui remplace le plan minute,
• PGOD- Plan Géoréférencé des Ouvrages
• Détectés

• Aux exploitants de réseaux : Pour enrichir la
• topographie, la cartographie (PCRS, SIG,).
• Les concessionnaires privés et publics.
• Aux maîtres d’ouvrages
• Aux exécutants de travaux : Afin de fournir leur
• DOE (dossier des Ouvrages Exécutés)

• Acquisition des données sur le terrain par la
• méthode statique ou dynamique :
• Lever avec une station et un GPS
• La photogrammétrie, mobile mapping, le
• lidar, le back-pack, etc.
• Mise à jour d’un ancien FDP
• Transformation du FDP d’un concessionnaire
• pour l’adapter à un cahier des charges
• spécifiques d’un autre concessionnaire

• Meilleure gestion des patrimoines
• Aide décisionnelle
• Facilité d’échange entre les services

• Un plan selon le cahier des charges du client
• au format numérique ou papier.
• Une cartographie des réseaux des
• concessionnaires.
• Une photogrammétrie géoréférencée au
• format dwg, pdf etc. sur demande